Hello, ça faisait longtemps que je n’avais pas donné de nouvelles. ce n’est pas que je ne faisais rien mais disons que du côté des productions c’était plutôt au ralenti, tournant au maximum 1 ) 2 scènes par an des mésaventures de Solomon Burke dans la jungle africaine des années 30.
Cette année, je devais tourner le tout dernier épisode. Il est écrit. Mais, les évènements de la vie ainsi qu’un terrible incendie sur la région du Portugal où nous tournons habituellement nous a empêché de mener à bien cette mission.
Mais…
Eh oui, il y a un mais. Mais, frappé par une inspiration soudaine, la menace des incendies au loin, alors qu’ils n’étaient que des fumées lointaines non menaçantes, mon cerveau s’est mis à clignoter. Il s’agissait là de ce qu’on appelle une Production value. Un évènement inopiné qui vient gratuitement gonfler les images que nous pouvons mettre en boîte. Alors que je voulais tester un appareil photo canon, j’eus l’idée saugrenue de ne pas tourner comme ça pour rien mais d’en profiter pour faire un tout petit court métrage. c’est ainsi qu’est né le 1er épisode des aventure de George Stevens. Alors George Stevens n’est jamais apparu dans les productions Ten Bucks. c’est un personnage neuf et pourtant il y est bien rattaché. Il est en effet l’ex-mari de la reporter Connie Stevens que nous avons rencontrée pour la première fois dans l’épisode Showtime des Dissuaders et qui réapparait dans un épisode encore inédit de The Mole and The Fox.
Il s’agit donc d’un nouveau style de personnage qui permet de filmer avec un dispositif encore plus réduit qu’avant et donnant donc plus de liberté pour rebondir sur l’actualité.
3 “épisodes” ont été tournés. Je mets des guillemets à épisodes car… Non, vous verrez. Si d’autres idées me viennent George refera son apparition.
Un petit post pour vous montrer les caméras que j’ai utilisées au cours de ces 30 années et des poussières pour filmer tous mes petits films. Je suis toujours resté fidèle à Sony et je n’ai jamais été déçu.
Bon il est vrai que j’ai fauté un peu un petit appareil photo canon S95 pour Christmas Spirit car je voulais tourner en “grand ( à l’époque en 720p).
Décidément, ça ne chôme pas en ce moment. Alors que je vous teasais récemment sur une dinguerie ayant 30 ans, je viens de mettre la main sur les fichiers numérisés mais non montées d’un petit court datant de 1999 (soit plus de 20 ans quand même). Je me souviens très bien du tournage. Comme pour Solo, j’étais seul mais en ce mois d’été, j’avais quand même envie de tourner quelque chose, or un évènement galactique devait avoir lieu en ce 11 août 1999. N’écoutant que mon courage, je pris mes affaire set ma voiture et pris la direction des hauteurs du côté de St Emilion.
Ne vous attendez pas à un grand film. Il s’agissait pour moi de faire en quelque sorte mes gammes comme un musicien : cadrer, découper, faire attention à la continuité ( y a une grosse erreur que je suis sûr vous repérerez sans mal). Très marrant de se plonger dans le montage de plans réalisés par cet autre moi d’il y a 20 ans.
Bon allez, trêves de bavardage, voici le film : Eclipse !!
Aujourd’hui je viens vous teaser après avoir fait une découverte qui s’apparente carrément à de l’archéologie puisque sur une VHS, j’ai retrouvé un montage d’un court métrage datant de plus de 30 ans. Il a du être tourné vers 1990-91.
Il s’appelle “The epic voyage of Akira”. J’hésite à changer le titre pour un quelque chose de plus correct comme “The Epic Jouney of Akira”.
Il s’agit d’un immense hommage à… Non, je préfère ne rien dire pour l’instant. 😉
J’ai numérisé le court qui fait un peu plus de 17 min et compte le faire passer sur Adobe Premiere pour lui donner un petit coup de polish avant de l’uploader sur YouTube.
J’en avais parlé il y a quelques semaines donc voici les garous… 🙂
Il y a bien longtemps dans une lointaine galaxie, vers 1996, un petit groupe de gaulois essayaient tant bien que mal de faire des vidéos avec les moyens du bord en s’inspirant de grands films qu’ils avaient aimés. Ne reculant devant aucun ridicule, ils s’amusaient à réinventer la roue de la fabrication d’un film, découvrant après un tournage chaotique, les affres du montage linéaire d’un magnétoscope à un autre.
Autrement dit… Il n’y a pas que les légendes qui ont débuté. 😉
La scène que je vous propose de découvrir (et qui n’a pas de fin, je préfère prévenir) devait s’inscrire dans un court métrage hommage à New York 1997 de John Carpenter, intitulé Escape from Libourne (une ville de Gironde). D’autres scènes ont ainsi été tournées et rajoutées pour “gonfler” le court métrage initial. Pour l’instant, le court lui-même reste introuvable et les autres scènes aussi. Un jour, sans doute, je remettrai la main dessus… En attendant, place aux… garous !!! 🙂
Je viens de retrouver un bout de scène avec la Brindille au tout début de l’aventure quand les Dissuaders n’étaient pas 2 mais 5 et devaient lutter contre leur Nemesis, “Le professeur”. Il y avait bien sûr nos 2 compères mais aussi L’Anguille, Google et Le Dandy dont vous verrez une photo plus bas. Mais la chose étonnante est le 1er costume de Daredevil, heu non pardon de Phasm Man. Il avait un vrai masque, couleur bois et un beau sous pull orange du plus bel effet. Il m’a juré qu’il l’avait perdu mais je suis sûr qu’il ne le supportait pas. C’était dommage, ça apportait de la couleur, non ? 😀
Et voici le Dandy qui vient rendre visite à la Brindille.
Souvent quand on est un peu béotien, on oublie face aux images d’un film la force et l’apport d’une bande son et spécialement de la musique.
Bastien Fraslin a fabriqué pour The Dissuaders un superbe générique puisant en partie son inspiration dans le générique de James Bond contre Dr No. J’avoue que j’avais plus ou moins écrit et réalisé une mini séquence devant servir de générique, tournée sur fond vert où l’on voyait la Brindille caché derrière un lampadaire, appréhender un monte-en-l’air qui du coup, projetait en l’air le fruit de son larcin qui, comme par hasard, tombait dans les mains peu morales du Docteur Personne qui s’empressait d’estourbir le butin. Devant la complexité de la tâche Bastien a détourné le problème et m’a proposé le générique que vous allez voir ci-dessous en 3 exemplaires. Oui, vous avez bien lu, 3 versions avec 3 ambiances différentes. Les images sont identiques mais la musique change du tout au tout.
Si jamais vous passez par là, n’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire quelle version vous plait le plus. 😉
La version 1 est appelée Chicaboom car sur une chanson de Joe Bataan intitulée “Chick A Boom”
Voici la version 2 est appelée “Noix de Coco” du nom de la musique de Michel Legrand utilisée :
La version 3 s’appelle Mission Danger du nom de la musique de Marc Durst
Que de posts ces derniers jours !! Ne vous habituez pas, ça ne va pas durer. 😉
J’ai réussi à faire fonctionner un vieux disque dur interne bien lourd et j’ai pu récupérer les 2 derniers épisodes sortis de The Mole and the Fox à savoir Impostor et Traitor, les 2 titres ne se référant pas à la même personne. 😉
Soyons logique et commençons par Impostor qui se targue même d’un résumé pour les étourdis. 😉
Place au dernier épisode en date, Traitor qui, en plus d’un résumé visuel, s’octroie une voix off à l’ancienne. 😉
Je poursuis la recherche de mes différents films sur mes disques durs anciens et je viens enfin de remettre la main sur Christmas Spirit. Pour l’instant, White Christmas joue la fille de l’air et si j’ai bien retrouvé le dossier de tous les fichiers de travail, le film final m’échappe encore.
Hello,
je continue mon rapatriement de vidéos sur Youtube avec 3 nouveaux épisodes.
Tout d’abord Showtime qui date de 2009 et qui a un peu beaucoup à voir avec la politique de l’époque (j’étais loin d’imaginer que nous connaîtrions pire presque 10 ans plus tard).
Ensuite Booo…ks ! qui est super court (moins d’1 minute) et qui date de 2010.
Et enfin, l’épisode 6 de The Mole and The Fox intitulé Bagman. Un épisode avec des effets spéciaux signés David Mazeau.
En vue d’une diffusion prochaine sur la webtv Canal 12, j’ai entrepris de rapatrier les vidéos des Dissuaders sur Youtube car Dailymotion crée des bugs partout comme ici-même où les vidéos ne sont même plus intégrées.
Ainsi donc Robbery est le premier à intégrer le bercail Youtube. Rappelons qu’il est la suite de Les Autres et qu’il existe une version intitulée The Others qui regroupe les 2 épisodes ainsi qu’une intro et une conclusion. Je la mettrai en ligne aussitôt que je la trouverai sur un de mes disques. 😉
La deuxième vidéo n’est autre que le teaser spécialement tourné pour le 1er film de Noël des Dissuaders Christmas.
La 3ème est Numbers, un épisode apparemment anodin mais qui en réalité révélait l’air de rien le super pouvoir du Docteur Personne, un super pouvoir dont son cerveau pourtant retors ignore tout.
ça fait un bail que je n’ai pas écrit sur ce blog mais contrairement à ce qu’on pourrait croire je suis toujours vivant même s’il s’en est fallu d’un cheveu.
Bon, je viens de retomber sur une VHS contenant un très vieux montage d’un tournage remontant à 1996 ou 97 à l’époque où je refaisais à ma sauce New York 1997 de Carpenter m’attribuant bien sûr le rôle de Snake.
Je pensais avoir posté la vidéo correspondante mais je me rends compte qu’elle n’existe que dans ma mémoire pour l’instant ce qui est un drame. Il va donc falloir que je parte à sa recherche car la scène que je viens de retrouver devait s’inscrire dans ce court métrage. Snake et Taxi rencontraient la bande des garous. En effet j’avais tourné un court bien avant et je l’enrichissais au fur et à mesure que j’avais de nouveaux acteurs ou de nouvelles idées. La vidéo était en couleur mais pour une raison qui m’échappe le montage était en noir et blanc donc…
Voici, juste une image afin que vous découvriez qu’ils n’ont pas joué aux cartes ensemble. 🙂
Tournage de nouvelles scènes, de raccords pour mon hommage au genre aventure mais version Ten Bucks. En lieu et place de l’Afrique, des décors trouvés dans le nord du Portugal. Oui, je sais, ça fait bizarre à lire mais j’espère que la vision du projet n’en sera pas altérée pour autant.
Je n’avais rien tourné depuis 2 ans et j’avoue que ça fait plaisir de s’y remettre sur un projet qui me tient à cœur tant depuis Raiders o the Lost Ark, vu en 1981, l’aventure est un genre que j’adore, découvrant ainsi aussi bien Les mines du Roi Salomon version Stewart Granger et Deborah Kerr ( un must) que la version de Richard Chamberlain et Sharon Stone ( un plaisir toujours aussi coupable, La momie, Hidalgo, Les aventuriers du bout du monde avec Tom Selleck et Bess Armstrong, Le secret des Incas avec Charleton Heston et tant d’autres…
J’avais envie de rendre hommage à tous ces films, à la sauce “Ten Bucks” of course.